Soutenir une approche révolutionnaire

Il s’agit bien évidemment de lutter contre les effets du vieillissement cérébral en explorant les possibilités découlant de la découverte récente du fonctionnement des dérivés hormonaux appelés neurostéroïdes.

Les scientifiques préfèrent souvent travailler sur la génétique plutôt que sur les hormones. Les laboratoires pharmaceutiques, quant à eux, n’investissent pas dans cette approche car les produits de ces recherches ne sont pas tous brevetables, certaines molécules, comme FKBP52, n’étant pas protégeables, car naturellement présentes dans l’organisme.

Pour le programme de l’Institut Baulieu, l’argent public est très rare. Celui des laboratoires pharmaceutiques ne va que vers des molécules qu’ils peuvent créer pour protéger leurs droits de propriété et leurs revenus alors que ni la FKBP52 naturelle et endogène ni ses modulateurs ne les ont intéressés. Ne restent que les ressources de la philanthropie, les dons des particuliers et des entreprises.

Nos besoins : 1 million d’euros par an pendant cinq ans

Pour mener à bien ces recherches, faire avancer la connaissance et mettre au point des traitements préventifs et curatifs contre la maladie d’Alzheimer et plus généralement contre l’ensemble des maladies neuro-dégénératives, le Professeur Baulieu et son équipe ont besoin d’environ 1 million d’euros par an pendant cinq ans.

Nous appelons les futurs donateurs à aider ces recherches qui peuvent s’avérer cruciales pour le jour où eux même prendront de l’âge.

 

Soyez égoïstes en étant généreux !

 

Les dons sont à adresser à l’Institut Baulieu et ouvrent droit à des déductions fiscales.
Ainsi, pour les personnes physiques, la déduction du montant de leur impôt sur le revenu égale à 66% de leur don.
Et pour les sociétés soumises à l’impôt sur les sociétés, la déduction d’impôt est égale à 60% des dons de l’exercice.